Frank Peter Zimmermann est considéré comme l’un des plus grands violonistes de sa génération. Loué pour sa musicalité généreuse, son brio et sa vive intelligence, il se produit depuis plus de trente ans avec tous les grands orchestres du monde, collaborant à cette occasion avec les chefs d’orchestre les plus renommés. Ses nombreux engagements l’amènent à se produire dans toutes les salles de concert importantes et dans les festivals de musique internationaux en Europe, aux États-Unis, en Asie, en Amérique du Sud et en Australie.
Né en 1965 à Duisburg, en Allemagne, il a commencé à jouer du violon à l’âge de 5 ans et a donné son premier concert avec orchestre à l’âge de 10 ans. Il a étudié avec Valery Gradov, Saschko Gawriloff et Herman Krebbers.
Au fil des ans, Frank Peter Zimmermann s’est constitué une impressionnante discographie chez EMI Classics, Sony Classical, BIS Records, Hänssler Classic, Ondine, Decca, Teldec Classics et ECM Records. Il a enregistré la quasi-totalité des grands concertos, de Bach à Ligeti, ainsi que des récitals. Nombre de ces enregistrements ont été récompensés par des prix prestigieux dans le monde entier.
En 2010, il a fondé avec l’altiste Antoine Tamestit et le violoncelliste Christian Poltéra le Trio Zimmermann, qui s’est produit dans tous les grands centres musicaux et festivals d’Europe pendant plus de dix ans.
Frank Peter Zimmermann a donné en première audition mondiale le Deuxième Concerto pour violon de Magnus Lindberg avec l’Orchestre philharmonique de Londres, du Concerto pour violon «en sourdine» de Matthias Pintscher avec l’Orchestre philharmonique de Berlin, du concerto The Lost Art of Letter Writing de Brett Dean avec l’Orchestre du Concertgebouw d’Amsterdam et du troisième concerto d’Augusta Read Thomas, Juggler in Paradise, avec l’Orchestre philharmonique de Radio France.
Né en 1965 à Duisburg, en Allemagne, Frank Peter Zimmermann a commencé le violon à l’âge de 5 ans et a donné son premier concert à 10 ans. Il a étudié avec Valery Gradov, Saschko Gawriloff et Herman Krebbers. Il joue un violon Stradivarius de 1711, le «Lady Inchiquin», qui lui est aimablement prêté par la Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, Düsseldorf, «Kunst im Landesbesitz».