Minimalist Dream House

lun. 23 mar

Minimalist Dream House

lun. 23 mar

Programmation

Érik Satie

Prélude du Ier acte, «La Vocation», extrait du Fils des étoiles

John Cage

Experiences (extrait : n° 1)

4 min 30
Arvo Pärt

Hymn to a Great City

4 min
William Duckworth

Time Curve Preludes nos 17 et 1

5 min 30
Philip Glass

Four Movements

24 min
Terry Riley

In C

Aphex Twin

Nanou 2 et April 14th

Brian Eno

In Dark Trees

Radiohead

Pyramid Song

Raphaël Séguinier

Free to X

Glenn Branca

Lesson No. 1

8 min
Sonic Youth

Free City Rhymes

Suicide

Ghost Rider

David Chalmin

Gameland

Laurie Anderson

O Superman

10 min
Howard Skempton

Prélude, Interlude 4, Prélude 5, Interlude 5 et Prélude 7, extraits des Images pour piano

7 min 30
Howard Skempton

Postlude

2 min
Henry Flynt

Worksuchthat no one knowswhat'sgoing on (One just has to guesswhetherthisworkexists and if itdoeswhatitislike)

James Tenney

Postal Piece No 10: Having Never Written a Note for Percussion

7 min
Philip Glass

One plus One

3 min
La Monte Young

The Tortoise, His Dream and Journeys

20 min

Distribution

Katia et Marielle Labèque
piano
David Chalmin
voix, guitare et électronique
Raphaël Séguinier
percussion
Alexandre Maillard
guitare basse

Pour célébrer les cinquante ans de la musique minimaliste, Katia et Marielle Labèque ont élaboré le projet Minimalist Dream House, créé à Paris en février 2013 et enregistré dans la foulée. C’est même plus d’un siècle d’histoire qui est retracé, puisque les interprètes vont traquer les racines de ce courant à la fin du xixe siècle, dans la musique d’Érik Satie – et même au xvii e, puisque Nicola Tescari fait reposer sa composition Suonar rimembrando (2011) sur une chaconne du compositeur et organiste italien Tarquinio Merula (1595-1665). Les précurseurs tels John Cage, Terry Riley ou Philip Glass sont mis à l’honneur aussi bien que les générations suivantes, avec des incursions dans le monde du rock (Brian Eno, Radiohead, Sonic Youth, Suicide). Le projet est dédié à la mémoire de William Duckworth, qui donna en 1978 le coup d’envoi du post-minimalisme avec son cycle Time Curve Preludes, dont les soeurs Labèque joueront ici des extraits. Décédé en 2012, il joua un rôle clef dans la conception de ce programme.