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Joshua Redman et Brad Mehldau duo

dim. 13 nov

Joshua Redman et Brad Mehldau duo

dim. 13 nov

Programmation

Brad Mehldau

Jedediah

Joshua Redman

High Court Jig

Thelonious Monk

In Walked Bud

Joshua Redman

Kite Song

Hoagy Carmichael

Nearness Of You

Brad Mehldau

Old West

Sonny Rollins

Airegin

Joshua Redman

The Oneness Of Two

Distribution

Joshua Redman
saxophone ténor
Brad Mehldau
piano

Depuis l’album Moodswing du premier en 1994, jusqu’au récent Highway Rider du second en 2010, Joshua Redman et Brad Mehldau sont plus qu’intimement liés. À deux c’est mieux, ils n’allaient donc pas arrêter en si bon chemin cette amitié de plus de vingt ans… Les retrouver aujourd’hui en duo est une évidence. Et comme les duos piano/saxophone ne sont guère légions dans l’histoire du jazz, en déguster leur vision renforce l’excitation. Même pour ces deux quadragénaires américains, cet exercice du duo est chose plutôt rare, Brad Mehldau s’exprimant souvent seul ou en trio, Joshua Redman essentiellement en groupe. Ce dialogue entre deux fortes personnalités sera forcément inspiré.

«Ils ont commencé ensemble, pratiquement : en 1993, Brad Mehldau était le pianiste du premier quartet de Joshua Redman, lauréat au sax ténor du concours le plus prestigieux des États-Unis, celui du Thelonious Monk Institute. Ils avaient vingt-trois et vingt-quatre ans. […]. Dix-huit ans plus tard, les voici pour quelque temps réunis en duo à parts égales. Brad a conquis l’aura du plus influent pianiste de sa génération. Joshua […] s’est affirmé en vigueur et en finesse dans un style personnel qui s’intègre à merveille dans l’écriture orchestrale de Mehldau. […]. Ils ne s’étaient jamais perdus de vue, se parlaient, s’écoutaient, mais c’est nous, le public, qui souhaitions leurs retrouvailles. […]. L’ovation debout d’une salle conquise d’avance mais reconquise par l’inattendu de cette musique trop belle pour être tout à fait vraie. Concert parfait, venu d’un autre monde. Celui qu’on souhaite quand on ne veut pas combattre et vaincre mais aimer.» Michel Contat –Télérama, 8/06/2011

En coproduction avec Jazz à Vienne.