En 1809, Beethoven accepte avec enthousiasme la commande d’une musique pour accompagner une pièce de Goethe. L’ouverture d’Egmont, qui condense les péripéties de l’action dramatique, brille par son romantisme exacerbé. Le Concerto n°25 est l’un des derniers concertos composés par Mozart. Créée par le compositeur à Vienne, il s’agit de l’une de ses musiques les plus majestueuses, qui sera magnifiée par l’immense pianiste français Pierre-Laurent Aimard. Aux côtés de son directeur musical, Nikolaj Szeps-Znaider, l’Orchestre national de Lyon conclura le concert en apothéose avec la Septième Symphonie, la plus lumineuse et la plus énergique des symphonies de Beethoven.