Salué régulièrement comme le pianiste le plus stupéfiant de sa génération, Daniil Trifonov revient à l’Auditorium de Lyon dans un chef-d’œuvre absolu de la littérature musicale : L’Art de la fugue, testament artistique de Bach.
Programme
L’Art de la fugue, BWV 1080
«Jésus, que ma joie demeure », extrait de la Cantate 147, BWV 147 (arrangement de Myra Hess)
Une pièce du Petit Livre d’Anna Magdalena Bach (compositeur inconnu)
Johann Sebastian Bach : «Bist du bei mir», air de Diomedes de Gottfried Heinrich Stölzel, extrait du Petit Livre d’Anna Magdalena Bach
Distribution
«Il possède tout, et plus encore», a dit de lui Martha Argerich. Remarqué en 2010/2011 lors des concours Chopin, Rubinstein et Tchaïkovski, Daniil Trifonov est rapidement devenu un chouchou du public. En résidence auprès de l’Orchestre philharmonique de Berlin, puis de celui de New York, il a privilégié au disque les grands compositeurs romantiques. Mais, au concert, il creuse d’autres répertoires. Ici, le pianiste russe gravit un éblouissant sommet : L’Art de la fugue, un tour de force compositionnel, en même temps que la synthèse de tout ce que la musique pouvait offrir à l’époque de Bach. Tout, et plus encore…